« Un habitant de la commune, Calais Vivion, avait quatre de ses fils (Louis, Calais, Augustin et Prosper) et deux de ses gendres qui étaient partis pour la guerre 14/18.

Il avait fait la promesse que si tout le monde en revenait vivant il ferait construire une chapelle en remerciements. Ce fut le cas, même si l’un des fils mourut de ses blessures très peu de temps après la fin de la guerre. [1]»

En réalité Augustin est décédé avant la fin de la guerre (fin 1917) et inhumé dans la tombe familiale du cimetière des Cerqueux.

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Nous sommes donc bien, dans ce cas, dans l’initiative privée d’une famille qui, tout en affirmant sa foi, souhaite protéger les siens.

 

 

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[1] Bulletin municipal des Cerqueux de janvier 1997.