a)   Les marchands de cycles

Ils font leur apparition en 1926 avec Jules GUICHETEAU. Puis la profession évolua car en 1931, Louis DUBILLOT[1] est mécanicien en cycles puis, en 1936, mécanicien puis ensuite électricien et armurier.

b)   Les journaliers

Ils allaient de ferme en ferme, appelés à la rescousse en cas de surcroît de travail. Ils étaient très polyvalents. Il y en eut jusqu’à une douzaine aux Cerqueux.

c)   Les ferblantiers

Henri FUSEAU[2], Henri GUICHETEAU[3], puis son gendre, Daniel COIFFARD fabriquaient et rétamaient des ustensiles en fer blanc tels que seaux, arrosoirs etc.

d)   Le facteur

La fonction était exercée par Elie DROCHON[4]. Il la cumulait avec son métier de tisserand. Avant l’installation de la poste aux Cerqueux[5], il prenait le courrier à Yzernay et le distribuait sur toute la commune, à vélo ou à pied.

e)   Le garde-champêtre

Robert AUGEREAU était chargé de transmettre les informations municipales. Avec son tambour, du haut de la pierre située devant l’école[6], il appelait les habitants d’un tonitruant « avis à la population ». Quand l’information était importante, il déambulait dans les rues. En 1946, il intégra les Ponts et Chaussées et fut remplacé par son frère Marcel.

[1] Installé tout d’abord derrière l’épicerie Dubillot dans l’impasse, place de l’église, il terminera son activité dans l’actuelle maison et garage de Mr et Mme Serge Pasquier, rue Saint-Jacques.
[2] Installé à l’emplacement de l’actuelle résidence Soleine.
[3] Exerce rue Amand Michaud, mitoyen avec la boulangerie Pasquier.
[4] Voir rubrique « tisserands »
[5] Actuelle maison de Mr et Mme Barbier, rue Saint Jacques.
[6] Jusqu’en 1942, l’école jouxtait l’église. Cette pierre est maintenant adossée au mur nord de l’église.