a-          Le maçon

Arthur PILET employait ses enfants et, selon les années, de une à quatre personnes. C’est lui qui procédera à la réparation de la croix du cimetière au début du XXème siècle. Son fils, qui portait le même prénom, lui succédera après la guerre 39/45.

b-          Les charpentiers

François et Pierre BODIN étaient charpentiers. Le fils de ce dernier, prénommé également Pierre, prit la suite de son père et resta aux Cerqueux jusqu’en 1961[1].

c-           Le menuisier ébéniste

Auguste GREGOIRE fabriquait dans son atelier portes, fenêtres et meubles nécessaires à la vie communale. Après avoir travaillé seul dans son atelier pendant longtemps, il forma quelques apprentis parmi lesquels Robert Lorin, son neveu, qui lui succéda. C’est Auguste Grégoire qui réalisa la grande porte de l’église [2].

d-          Les carrières de granit

L’exploitation du granit aux Cerqueux débuta vers 1912, la période la plus faste se situant vers 1930. A cette époque coexistaient deux entreprises : CHARRIER qui fabriquait des pavés et Le Granit qui faisait de l’extraction de plus gros volumes. Les deux ateliers employaient environ 70 personnes [3] dont un tiers résidait aux Cerqueux.

[1] Installé dans le coin de la place de l’église, l’atelier donnait rue des Ouches.
[2] L’atelier était situé route de Somloire, près de l’école des filles.
[3] Charrier était à La Sévrie du Moulin et employait environ 30 personnes. Le Granit était à la carrière de La Foucherie et employait environ 40 personnes.