Jean MAROLLEAU était manœuvrier (journalier, employé à la journée). Il a été condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 21 nivôse an 2 (10 janvier 1794), par la commission militaire de Port-Malo. (Saint-Malo)
Aucune trace dans l’état-civil des Cerqueux, il était sans doute originaire de la « basse-commune », les Marolleau étant nombreux sur l’état-civil de St-Aubin.

marolo